CONNAISSANCES DES PUBLICS ET DES TERRITOIRES (Partie -1)

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CONNAISSANCES DES PUBLICS ET DES TERRITOIRES

Ce cours traite principalement le module EP2 de 2nd intitulé :

Les structures et les organisations des services à la personne

 La formation Service aux personnes et aux territoires s’intéresse à tous les usagers d’un territoire : bébés, enfants, adolescents, adultes, seniors … sont les publics avec lesquels les futurs professionnels doivent apprendre à travailler.

C’est pour cette raison qu’en Bac Professionnel SAPAT nous étudions la notion de territoire en ESC avec le professeur d’histoire géographie.

Car les usagers n’ont pas les mêmes besoins d’un territoire à un autre.

RAPPEL sur les besoins des personnes et les types de « conforts à la personne » :

http://nparo.fr/?p=5579

<Début prise de notes cours >

INTRODUCTION

QUESTION 1 ?
COMMENT DECRIRE UN TERRITOIRE ?


On décrit un territoire par :

  • sa TOPOGRAPHIE, avec le vocabulaire suivant : un paysage plat, de plaine (plaine neuvilloise près de Neuville du Poitou, la région de La Rochelle) , valonné ( région de Tour, de Bourges, le bordelais : c’est un payasge composé de collines et petits vallons) , accidenté ( les Pyrénées, les Alpes, la Dordogne…)
    SRC types de paysages en france :
    https://duckduckgo.com/?t=lm&q=les+types+de+paysages+en+France&atb=v320-1&iax=images&ia=images

    # VOCABULAIRE : plaine, vallon, colline, montagne, escarpements, escarpé, gouffre, cascades…


  • sa GEOGRAPHIE ADMINISTRATIVE : dans quel Pays ? région ?, département ? et agglomération ? est-il situé ?
    Cette géographie administrative définie de quel pays dépend le territoire que j’étudie.
    RAPPEL :
    La France est située à l’extrême OUEST du continent européen et certains territoires français sont situés au-delà du continent européen :
    SRC « des territoires français » : https://www.maxicours.com/se/cours/la-france-et-les-territoires-francais-dans-le-monde/
    SRC « Terre ADELIE » : https://biodiversite-outre-mer.fr/territoires/terre-adelie
    Depuis 2016, la France est découpée en 13 régions et en 100 départements dont 4 départements d’outre-mer (DOM) et Il existe 24 territoires français dans le Monde

    # VOCABULAIRE : citoyen, administration, loi, justice, social, justice, vivre ensemble, mairie, département, région, communes…

# VOCABULAIRE : industrie, artisanat, gastronomie, services, agriculture, agricole…



QUESTION 2 ?
COMMENT DECRIRE UN TERRITOIRE ?

UN TERRITOIRE ? :
(cf Larousse)

1. Portion de l’espace terrestre dépendant d’un État, d’une ville, d’une juridiction ; espace considéré comme un ensemble formant une unité cohérente, physique, administrative et humaine : Le territoire national.

Synonymes :

circonscriptionnationpays

2. Étendue dont un individu ou une famille d’animaux se réserve l’usage.

3. Espace relativement bien délimité que quelqu’un s’attribue et sur lequel il veut garder toute son autorité : Sa chambre, c’est son territoire.

Synonymes :

fiefsecteur


Qui sont les acteurs d’un territoire ?

  • les habitants : ceux qui y vivent dorment…
  • les entrepreneurs : ceux qui y travaillent et qui sont responsables de ce travail (artisans, profession libérale, grande distribution, magasins…)

et

  • les personnes qui contribuent à un service
  • Quels sont les services que l’on peut trouver sur un territoire ?
    Services de :
  • santé (hôpitaux…)
  • de transports,
  • administratifs (impôt, état civil…),
  • urbanisme (mairie),
  • de sécurité et justice (Police…),
  • d’éducation (écoles…)

    En connaissez-vous d’autres ?

Un territoire n’est pas SEULEMENT un paysage, une « vue » Pourquoi ?

REF pour aller plus loin :
– Notion de territoire pour wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Territoire

On définit le TERRITOIRE suivant 3 grands critères : (prise en notes du tableau)

< FIN prise de notes cours>

< Début prise de notes cours>

I/ Organisation du territoire français : le découpage administratif du territoire, services et compétences des territoires.

INTRODUCTION

Lorsque nous étudions les sociétés humaines il ne faut jamais oublier qu’un groupe humain n’est pas l’addition des besoins de chaque individus qui le constitue mais a des motivations propres qui sont apparues au fil de son histoire.

Ainsi pour pouvoir vivre ensemble les hommes et les femmes ont créé des organisations auxquelles ils ont confié des missions répondant à leurs besoins individuels et collectifs.

src: Pyramide des Besoins ou dtite de Maslow

Ces espaces ont été créé au fil de l’histoire humaine, en France pour notre exemple et sont très contraints par la géographie qui va dicter les échanges possibles entre les différentes populations du territoire.

On parlera aussi des acteurs du territoire.

On voit bien, sur les cartes ci-dessous, le lien direct existant entre le terrain ( la topographie) et l’occupation humaine (habitats, activités) du territoire.

La géographie nous oblige donc à distinguer les espaces ruraux où s’exprimera une culture dite rurale (on parle de ruralité) des espaces urbains à forte densité humaine où s’exprimeront d’autres formes de cultures et de sociabilité (on parle d’urbanité).

Mais il ne faut pas voir ces deux entités sous la forme d’une opposition car ces espaces mutent, se complètent et se transforment constamment au grès des évolutions des populations (déplacements, migrations…) et de leur mode de vie.

Quelques définitions pour préciser les concepts :

ESPACES RURAUX

… sont des espaces dont les sols ont été peu anthropisés (modifiés par l’homme).
On les distingue des espaces naturels où l’intervention humaine est la plus minime.

Les espaces ruraux assurent des fonctions multiples également mais à une échelle inférieure à celle des espace urbains :
ex : peu d’Université en milieu rural, peu de grands hôpitaux, peu de palais de justice…

ESPACES URBAINS

… sont des espaces dont la majorité des sols ont été artificialisés.
Ces espace assurent des fonctions multiples à forte densité : logement, travail, alimentation, éducation, justice et soin.

Et sont caractérisés par une forte densité humaine.

ESPACES PÉRIURBAINS

… sont des espaces dits de transition, souvent structurés par une SEULE fonction (logement ou habitation ou commerce…)

< FIN prise de notes cours>

< Début prise de notes cours >

1/ Organisation des espaces ruraux

Le HAMEAU :
Un hameau, un lieu-ditest un groupe d’habitations en milieu rural. Un écart désigne une habitation isolée. Le Hameau est généralement trop petit pour être considéré comme un village. L’élément fondateur est très souvent une ferme.

Leur nombre est difficile à quantifier en raison de leur taille, par exemple dans le département de la Creuse on en compte environ 25 000 (carte de la Creuse). Ce qui n’est pas négligeable, si on rapport ce chiffre aux 101 départements français, soit 4% de la population française

Un hameau est avant tout un lieu d’habitation sans services associés mais il peut s’y exercer une activité économique.
Les Besoins des personnes vivants dans un hameau sont la plus part du temps extériorisés vers des organisations humaines plus vastes.
Néanmoins, généralement, les besoins énergétiques sont en grande partie assurés (chauffage, électricité) par des entreprises privées et/ou publiques : EDF, Fournisseurs de gaz, de Fioul.
Les besoins en communication peuvent aussi être parfois problématiques on parle alors de zones blanches
:
/ à la téléphonie

LE VILLAGE :

Un village est une « agglomération rurale caractérisée par un habitat plus ou moins concentré de moins de 2000 habitants et possédant des services de première nécessité (boulangerie, boucherie, pharmacie etc.).

Le village est entouré de terres cultivables, parfois on y trouve quelques usines ou un petit port. Certains ont encore les vestiges d’une enceinte fortifiée ou d’un château.

Un village est généralement constitué d’édifices publics, d’hôtel de ville – mairie, d’office du tourisme, de bureau de poste, de poste de police, de caserne de pompiers, d’école, de collège, de bibliothèque, de maison de retraite, de foyer municipal, d’église, de monument aux morts, de cimetière, de statue, de fontaine, de parc/jardin public, de stade…

Un écovillage (ou éco-village, éco-lieu, éco-hameau), est une agglomération, généralement rurale, ayant une perspective d’autosuffisance variable d’un projet à l’autre et reposant sur un modèle économique alternatif…

Le village a avant tout une activité agricole ou artisanale.

Le village ne doit pas être confondu avec la ville, agglomération de plus de 2000 habitants à l’habitat concentré et espacé de moins de 200m.
En ville l’ activité est essentiellement commerciale et culturelle associée au secteur tertiaire.
54% de la population mondiale vit dans une ville ou en milieu urbain.

Ces différences entre ville et village ne sont pas strictes, car certians villages ont su diversifier leur activité économique ou la spécialiser : village de libraires…

En revanche l’échelle de certaines institutions demeure un critère de différence : au village une église, à la ville une cathédrale, au village une école, à la ville un collège et pour les plus grandes une université.

2/ Les occupants des espaces ruraux et les fonctions… des espaces ruraux.

La fonction des espaces ruraux est avant tout agricole et pour une grande part dirigée vers l’alimentation humaine.


Par conséquent un des principaux acteur de l’espace rural reste l’agriculteur ou exploitant qui est de moins en moins issu d’une lignée paysanne. En effet les néo-ruraux, les habitants en milieu rural qui a l’origine étaient issus de la ville deviennet de plus en plus des exploitants agricoles.

R. Marconi, documentariste de « Cyrille, agriculteur, 30 ans, 20 vaches, du lait, du beurre, des dettes »
src: le #1 (N°284 19 fev.2020)

Les néoruraux, orthographiés aussi néo-ruraux, sont les citadins ayant décidé de partir s’installer en zone rurale. Les nouveaux habitants des communes rurales, originaires de communes urbaines, s’installant dans un espace où ils n’ont pas d’attaches familiales.

Ce phénomène d’installation de population urbaine vers les campagnes a commencé dans les années 70. Il trouve son origine dans un mouvement de contestation de la société française de cette époque prônée par l’Etat français. Il est la conséquence, notamment, de mai 68.
Pour aller plus loin à propos de mai 68 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mai_68_(France)


ou encore ici (vidéo de 1 min) :

https://www.lepoint.fr/societe/mai-68-explique-en-1-minute-25-05-2016-2042038_23.php

2010

Les populations rurales ou les ruraux, de part leur situation géographique, voient la satisfaction de leur besoin s’externaliser hors de leur territoire, se pose un certains nombre d’enjeux actuels.

Enjeux de santé, de mobilité, de communication (on l’a vu) accentué par l’arrivée massive des Néo-ruraux qui à patir des années 80 (1980) repeuplent les campagnes mais on d’une part une méconnaissance des contraintes des habitants depuis longtemps installés voir nés dans ces territoires et d’autre part des exigences propres à des citadins, pas toujours compatibles avec ces territoires.

Néo-ruraux VS Ruraux  » La vie n’est pas un long fleuve tranquile » …:

Exemple : de conflit entre Néo-ruraux et ruraux :

https://www.causeur.fr/agriculture-paysans-justice-proces-neoruraux-145196

Un livre comme référence :

https://lemeridional.com/index.php/2021/09/26/campagne-une-analyse-de-lincomprehension-entre-ruraux-et-neo-ruraux/

Enjeux de santé, d’éducation, enjeux socio-professionnels…


Ex : en 2022 la politique française veut pallier au « deserts médicaux » et faire en sorte qu’ils se réduisent. Or pour atteindre un seuil acceptable de 1 médecin pour 1000 habitants il faudrait dès aujourd’hui recruter 6000 médecins.
Rappel : il faut 10 ans pour former un médecin.

Autre exemple : dans certaines petites villes des services publics de santé ferment comme par exemple dans la ville de Le Blanc qui a vu fermé sa maternité en 2018 obligeant dorénavant les femmes à effectuer entre 45min et 1h de route pour aller accoucher à Châteauroux ou à Poitiers.
(Pour aller plus loin sur cet évènement : https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/indre/fermeture-maternite-du-blanc-an-combat-raconte-ses-habitants-1715957.html)

Une autre fonction du territoire rural…

… apparue dans les années 1970 et qui ne s’est jamais démentie voire a pu s’amplifier depuis la fin des années 90 est la fonction dite de « refuge ».

Dans cette fonction l’espace rural est un espace où les populations vont essayer « de changer de vie » et/ou envisager d’autres modèles de vie, souvent en réaction à l’agressivité de la vie urbaine : pollution, chômage, capitalisme forcené…

Cette fonction a permis l’émergence et la concrétisation de pensées alternatives à l’Etat notamment en éducation. Cette fonction est très importante car elle est source d’innovation, et d’une importante solidarité entre les personnes. Sa valeur culturelle est très forte.



> Voir l’école du Colibri fondée au début des années 2000 dans la Dröme
(src: https://www.doctissimo.fr/famille/scolarite/pedagogie-alternative/ecole-colibri)

> Voir les paragraphes concernant les luttes organisées sur le plateau du Larzac depuis les années 70 :
Lutte des paysans contre le camp militaire et Larzac 2003 : symbole des luttes populaires, en suivant ce lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Causse_du_Larzac


> Exemple des déménagements à l’issus du confinement de 2020 suite à l’épidémie de COVID 19
( exemple : https://www.lemonde.fr/argent/article/2020/09/14/marche-immobilier-quand-le-doute-s-installe_6052056_1657007.html)


> Le développement de Z.A.D : de « zones à défendre », comme notamment à Notre-Dame des Landes
( En savoir plus sur ce mouvement à Notre Dame des Landes : https://fr.wikipedia.org/wiki/ZAD_de_Notre-Dame-des-Landes)

< Fin prise de notes cours >

< Début prise de notes cours>



II/ Typologie des organisations humaines et de leurs compétences : Services publiques des territoires, associations et entreprises ?

De territoires en territoiores les groupes humains se sont organisés pour répondre à leurs besoins. Cette organisation traduit à la fois une volonté d’indépendance vis à vis d’un état qui historiquement été très centralisé, la royauté, mais aussi une unité que l’on pourrait qualifier de nation.

Par ces organisations les hommes et les femmes françaises « font société ».

Rappel historique :
A la fin de la seconde guerre mondiale en 1945, l’état français est très centralisé. C’est à dire qu’en résumé, toutes les décisions dans tous les domaines (politiques, sanitaires, culturelles…) viennent de Paris et doivent être appliquées via les préfectures par les territoires.

C’est Paris qui décide comment les territoires doivent vivre sans tenir compte de leurs spécificités.

Pendant 30 ans le pays se reconstruit, fait appel à un fort taux d’immigration et l’économie se porte bien avec un chômage assez faible (200 000 chômeurs en 1970 en France, en 2022 la France compte plus de 2 000 000 de chômeurs).

C’est l’époque des « 30 Glorieuses ».

Mais à partir des années 70 (1970) une crise économique s’installe et les territoires vont progressivement prendre leur destin en main en négociant avec l’état français de nouvelles compétences.

Ce sont les lois de « décentralisation » (les premières sont votées en 1982) qui vont permettent ces changements et donner aux territoires de plus en plus d’autonomie.
Pour aller plus loin sur les lois de décentralisation : (https://www.vie-publique.fr/eclairage/38438-les-lois-defferre-premieres-lois-de-decentralisation)

1/ Les collectivités locales ou territoriales

A/ Définitions et rôles.

Qu’est ce qu’une collectivité territoriale ou locale ?

Une collectivité territoriale (ce terme apparaît à la fin de la seconde geurre mondiale) est une autorité publique distincte de l’État. Chaque collectivité (commune, département, région) est dotée d’un exécutif et d’une assemblée délibérante élue au suffrage universel. Elle exerce librement ses prérogatives en complément de l’action de l’État.

Ces compétences ne sont qu’administratives et viennent en complément de celles de l’état.

L’état et ses prérogatives ou compétences.

dispose des compétences dites régaliennes :

  • édiction des lois
  • décisions de justice
  • défence et sécurité du territoire
  • émission de la monnaie

Pour aller plus loin :
(https://www.fo-dgfip-sd.fr/007/IMG/pdf/dafpe_admin_regal_etat_050310.pdf)

Les compétences des collectivités territoriales :

La communeGestion des écoles maternelles et élémentaires ; Urbanisme, logement, environnement
Le départementAction sociale (enfance, personnes âgées, personnes handicapées, RSA…) ; Gestion des collèges
La régionDéveloppement économique ; Gestion des lycées ; Transports non urbains ; Aménagement du territoire ; Formation professionnelle ; Gestion des fonds européens

B/ Quelques remarques à propos des collectivités locales

RQ1/
l’éducation n’est pas une prérogative stricte de l’état.

NON, En France l’instruction est obligatoire mais peut prendre différentes formes :
– école à la maison
– établissements privés cultuels
– écoles alternatives comme l’école du Colibri que nous avons déjà vu (I/… la fonction « refuge » du territoire rural)

Ainsi l’état n’est pas le seul organisme à pouvoir dispenser l’instruction en France.

RQ2/
Les collectivités territoriales s’administrent librement par un conseil élu au suffrage universel direct (conseil municipal, conseil régional…) et un exécutif (maire, président de conseil régional…).

Elles sont indépendantes les unes des autres et ne peuvent exercer une tutelle les unes sur les autres.
Cependant elles peuvent « s’allier » et mutualiser des moyens. On parle alors d’intercommunalité, de communauté de communes et plus largement d’EPCI : Etablissement Public de Coopération Intercommunales
(exemples : construction d’une piscine, gestion d’un gymnase…)
Pour aller plus loin sur les EPCI : (https://www.vie-publique.fr/fiches/20118-la-cooperation-intercommunale-et-les-epci)

Les collectivités territoriales disposent d’un budget propre. Dotées de l’autonomie financière, elles gèrent librement leurs ressources (impôts locaux, dotations de l’État) dans les limites fixées par la loi. Elles disposent d’un pouvoir réglementaire.

RQ3/
L’emploi dans les collectivités locales est un emploi de fonctionnariat.

Les employés de la fonction publique français sont appelés agents.
on distingue :

La fonction publique d’état : FPE, les emplois permanents de l’État.
2,4 millions d’agents soit 50% des effectifs.

La fonction publique territoriale, FPT,
1,8 millions d’agents soit 30% des effectifs

les emplois dans des collectivités territoriales que sont les régions, départements, communes et établissements publics de coopération intercommunale (intercommunalités et syndicats intercommunaux) ;
Les FPT

La fonction publique hospitalière,
1.2 millions de personnes soit 20% de l’effectif

FPH, les emplois dans les établissements hospitaliers et du secteur médico-social.

À la fin de l’année 2014, la fonction publique emploie 5,6 millions d’agents : elle représente 82 agents pour 1 000 habitants, et 21 % de l’emploi total en France.

Elle est caractérisée par 20% d’emplois partiels ce qui représente 5.2 millions d’emploi (équivalent temps plein).

Le nombre d’agents de l’état est de 2.5 M°, des collectivité territoriales 1.9 M° et de la fonction publique hospitalière 1.2 M°

Les aganets publics dits fonctionnaires sont :

soit titulaires de leur statut grâce à l’obtention d’un concours et peuvent évoluer dans leur statut par leur ancienneté en poste ou la passation de nouveaux concours

soit contractuels et non titulaires de leur statut.

Ils sont tous de nationalité française, rémunérés par les deniers publics.

L’emploi des fonctionnaires est contraint par des devoirs et des droits de service dont voici les principaux :

Les devoirs :

  • devoir de réserve : l’opinion du fonctionnaire face à l’ordre d’une mission ne peut s’exprimer.
  • devoir de neutralité : il ne peut exprimer sur son lieu de travail ses opinions religieuses ou politiques
  • devoir d’obéissance et de désobéissance : d’obéissance aux tâches qu’on lui donne à réaliser et désobéissance si ces tâches vont contre l’ordre public.
  • de se consacrer à sa fonction : pas de cumul d’emploi public

Les droits :

  • Droit à la rémunération
  • droit aux congés
  • droit de grève
  • droit à la protection fonctionnel : son employeur lui garanti ses missions

La rémunération des fonctionnaires est directement liée à « la bonne santé » de son employeur, autrement dit l’état ou les collectivités locales. Le non-paiement de leur traitement est un indicateur de la stabilité ou non de l’état et de ses organes ou institutions.

2/ Les associations en France

1,3 millions d’associations sont actives en France. Mais depuis des siècles, les français ont eu l’occasion de se réunir, pour, ensemble, mettre en place des projets, solidaires ou en faveur de l’intérêt général.

La loi de 1901 reconnaît la liberté pour tout citoyen d’être ou non membre d’une association. Celle-ci peut être créée sans autorisation ou déclaration préalable sous réserve qu’elle ait un objet licite et qu’elle respecte les lois et règlements en vigueur. Si son objet paraît illicite au préfet, celui-ci doit saisir le juge, seul compétent pour interdire la création ou la dissolution d’une association.

Mais la déclaration en préfecture leur permet :

  • d’avoir des moyens juridiques leur permettant vraiment de s’organiser matériellement
  • des droit aux subventions, au compte bancaire
  • à être employeur,
  • à ester en justice c’est à dire de faire appel à la justice du pays.

Les secteurs de la jeunesse, de la protection de l’enfance, des sports, de la culture et de l’éducation populaire sont les plus représentés dans les missions associatives.

Les associations sont principalement animées par des bénévoles (personnes exerçant une activité sans rétribution), mais elles peuvent aussi employer des personnes.

A/ Salariat et engagement associatif en France :

 23 millions de personnes âgées de plus de 14 ans sont membres d’une association.

  • Le secteur sanitaire et social est le principal « employeur » avec 920 000 salariés,
  • le secteur culturel regroupe 60 000 salariés,
  • le secteur sportif totalise 81 000 salariés,
    Soit 1.5 millions de personnes employées dans une association (ETP )
  • 70 % des emplois associatifs sont occupés par des femmes ;
  • L’engagement reste différencié selon les sexes : 51% des hommes de plus de 15 ans font partie d’au moins une association contre 40 % de femmes, mais ce déséquilibre est moins grand que dans d’autres sphères d’activités économiques et sociales et évolue plutôt positivement.
  • Actuellement l’âge moyen d’un adhérent d’association est de 48 ans.

B/ Le financement des associations en France :

92 % ont des budgets inférieurs à 75000 €.

Seules 5 % des associations, soit environ 40000 associations disposent de budgets supérieurs à 150000 €.

Des différences de ressources existent aussi selon les secteurs d’activités.

Les associations ayant les budgets les plus élevés sont celles du secteur sanitaire et social avec un budget moyen de 200000 €. Ce sont aussi celles qui ont également le plus de salariés.

Les secteurs de la culture, des loisirs et du sport sont des secteurs à faible budget (20 à 30000 € en moyenne).


Les financements possibles pour les associations sont :


– financement public 54%
– Financement privé 46%
– Pour les plus petites d’entree lles seules les cotisations des membres actifs, le temps investi par ces derniers et les produits de vente (kermess…) soit 10% des associations
– les dons de particuliers 20%
– Le mécénat, 9% mais s’adresse surtout aux grosses associations.
Les recettes d’activité sont de nature fort différentes :
Participation au service rendu de la part des adhérents,
produits des fêtes et manifestations,revenus de placement, …

Les recettes d’activité alimentent plus de 30 % des budgets associatifs et constituent désormais la seconde ressource des associations après les financements publics. Leur part est croissante.

Les financements publics constituent la principale source de financement des associations ; c’est une particularité française résultant de la place et du rôle de l’Etat dans notre pays.

Les financements publics tiennent une place différente selon la taille des associations. Ils sont quasi-inexistants dans les toutes petites associations. Ils représentent plus de 60 % du financement des associations employeurs.

Ils sont logiquement très présents dans le secteur sanitaire et social, mais aussi dans les secteurs de l’éducation et de la culture. Leur poids est faible dans le secteur de la défense des droits (30 %). Celui-ci est essentiellement financé par les cotisations de ses adhérents.

Les financements publics sont liés aux domaines de compétences des collectivités :

  • Les communes interviennent sur l’ensemble du champ associatif même si elles privilégient les secteurs culturels, des loisirs et des sports,
  • Les conseils généraux financent principalement les associations du secteur social de grande taille,
  • Les régions et l’Europe se concentrent sur les secteurs de l’éducation et de la formation.

La rémunération des employés d’association et les moyens financiers des associations dépendent directement : des aides publiques et des activités de l’association.

Autrement dit une association sans projet risque de disparaître rapidement faute de moyens.


Pour aller plus loin à propos des associations :
https://www.francebenevolat.org/associations/gra
Accès au RNA : le répertoire national des associations : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/repertoire-national-des-associations/

3/ Les entreprises en France

Quelques statuts du secteur privé à connaître :

Le salariat : la personne est payée par une entreprise, on parle aussi d’employé. Il/elle reçoît des « missions » parfois des ordres par une hiérarchie très distincte et très hiérarchisée, contre une rémunération fixée par l’état appelée le SMIC : « Salaire Minimum de Croissance »), depuis le 1e août 2022 celui-ci est à 1329,05 € net / mois pour 35h de travail hebdomadaire soit un temps plein (100%)

Un salarié peut-être aussi un chef d’entreprise quand par exemple il gère une boutique, un magasin qui est une franchise d’une marque : Exemple : Sephora, Décathlon, la Fnac…
Contraint par les directives de la marque, il possède beaucoup de libertés pour organiser son activité.

Le chef d’entreprise : créé son entreprise et la gère parfois avec des associés qui possèdent une partie du capital de départ de l’entreprise. Il emploie des salariés.

L’auto-entrepreneur est un travailleur indépendant exerçant sans contrainte hiérarchique une activité économique : artisanat, services…Il est limité dans ses bénéfices et doit donc évoluer vers la profession libérale si son activité augmente.

Le travailleur indépendant ou profession libérale : exerce tous types de métiers ou d’activités dans tous les secteurs économiques : primaire où il peut être maraîcher, et tertiaire où il peut être commerçant, médecin, infirmier…

Le bon fonctionnement d’une entreprise, d’une activité salariée ou indépendante dépend beaucoup des rémunérations que l’activité de l’entreprise arrive à dégager. Elle dépend aussi du contexte de l’activité : temps de guerre, chéreté des matières premières, encouragement de certains secteurs par le pouvoir public et stabilité de l’état.

SRC:
Fonctionnaires détat fonction publique territoriale : src : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fonction_publique_fran%C3%A7aise

Les types d’associations : https://www.associations.gouv.fr/les-associations-en-france.html

Les types d’entreprises : https://www.insee.fr/fr/statistiques/5759063

https://www.vie-publique.fr/fiches/269995-les-grands-secteurs-de-production-primaire-secondaire-et-tertiaire


< Fin prise de notes cours du 12 octobre>

< Fin prise de notes POUR le devoir du 19 octobre octobre>

III/ Héritage et biens communs, les enjeux du Patrimoine

Immigration en France : https://www.insee.fr/fr/statistiques/3633212#graphique-infographie

et

https://www.vie-publique.fr/en-bref/283396-immigration-les-chiffres-pour-2021

DONNEES DEMOGRAPHIQUES : https://www.insee.fr/fr/statistiques/6024136

RELIGIONS EN FRANCE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Religion_en_France

et

https://blogs.mediapart.fr/ficanas/blog/100115/les-religions-en-france-combien-de-pratiquants

  -/ Le Patrimoine mondial de l’Humanité.

La pratique socioculturelle d’une population est la pratique culturelle
d’individus dans un lieu donné.

Ex : un habitant de Bourges et un habitant de DAX n’ont pas les mêmes
habitudes de loisirs,
de sorties, d’écoute de musique…la gastronomie

Des Racines et des Ailes : un patrimoine pour l’humanité diffusé en 1992 sur France2


EN RÉSUMÉ & À Retenir :
1960 : prise de conscience que les réalisations du passé, quand elles sont exceptionnelles, doivent être sauvegardées (exemple du temple d’Abu Simbel, temple du pharaon Ramses II d’Egypte lors de la construction du barrage d’Assouan).


1972 : à Paris l’UNECO adopte la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel et naturel.
A partir de cette date une liste des sites remarquables est créée et des sites du monde entier vont y être enregistrés pour leur préservation :


Exemple en 1979 en France : le Mont St-Michel et la Baie de Somme, ainsi que le Palais de Versailles
Puis partout dans le monde : La Grande muraille de Chine, la Mosquée de Tombouctou…


Des constructions humaines remarquables et puis aussi des sites naturels et des paysages exceptionnels comme : les îles des Galapagos, le Grand Canyon.
Enfin récemment, la liste du patrimoine mondial de l’humanité s’est élargie à des biens non-physiques mais strictement culturels et de mémoire comme : Le Camp d’extermination d’Auchwitz, des chants traditionnels (Le Reggae pour la Jamaïque), des coutumes et modes de vie typiques de sociétés passées ou présentes…ou des productions humaines : le vignoble de Lavaux en Suisse.

On parle désormais de patrimoine matériel, naturel et immatériel de l’humanité. Tous ces sites sont inscrits sur la liste de l’UNESCO qui aide financièrement à leur préservation et permet le développement économique (par le tourisme) des pays concernés.

Le Patrimoine :

est dit :
MATERIEL : quand il désigne des monuments historiques et leur histoire appartenance de biens transmis (héritage), pratiques (métiers…)
IMMATERIEL : quand il désigne des cultures et des traditions (danses, cuisine, vocabulaire, langues…)
NATUREL : Quand il désigne des Paysages…

ACTIVITÉ#1 :

« Observez votre territoire » : dans un rayon de 10 kms autour de votre maison, sélectionnez et illustrez d’une image un élément qui pour vous fait partie du Patrimoine :
> un élément MATERIEL : monuments historiques et leur histoire appartenance de biens transmis (héritage), pratiques (métiers…)
> un élément IMMATERIEL : culture et tradition (danses, cuisine, vocabulaire, langues…)
> un élément NATUREL : Paysages…

et répondez à la question suivante : Quels sont les biens communs de votre territoire, c’est à dire les éléments que partagent les gens autour de vous dans ce rayon de 10 kms ?

Accès au Padlet du groupe : ici

Fin de l’ACTIVITÉ#1

II Le patrimoine et ses enjeux de sauvegarde

Le patrimoine est donc un bien commun de l’humanité, il fait partie de ce que l’on appelle « les communs » : c’est à dire les biens, les lieux, les pratiques dont la préservation est essentielle à la vie sur terre.
La qualité de l’air, la biodiversité, la dignité des personnes, la connaissance humaine sont des « communs » que tout à chacun doit préserver.

Pour permettre cette préservation différents organismes en plus de la liste de l’UNESCO ont été créé. Ils œuvrent à différentes échelles :
Pour les biens classés au niveau national :
– Les Monuments historiques (MONUM) (Etat français), et certains labels type : les musées d’art et d’histoire.

Pour les biens non classés, au niveau régional et en dessous :
– Fédération nationale des organismes de sauvegarde des sites et ensembles monumentaux (Groupement d’associations)
– L’Observatoire du patrimoine religieux
– Les maisons paysannes de France
– La fondation du patrimoine
Des organismes qui sont souvent des associations.

Les principaux enjeux du classement d’un élément du patrimoine :
Sa sauvegarde pour la mémoire de l’humanité (la connaissance)
– Des aides pour son entretien, sa restauration (fonds d’Etat, dons…) lorsque l’on est propriétaire
– Un enjeux d’image, d’attractivité et un enjeux économique (/ressources financières, / à l’emploi, / à l’écologie) fort pour les territoires où sont implantés les biens en question.
A tel point que l’on peut parler de stratégie patrimoniale des territoires.

L’exemple de la région Centre Val de Loire

La stratégie régionale d’un tourisme durable (2015)
Spot publicitaire de la région Centre Val de Loire (2015)

 

III/ Le Patrimoine des régions françaises

 

A la découverte du patrimoine des régions françaises
(https://www.jaimemonpatrimoine.fr/fr)

 ACTIVITÉ#2 :
> Répondez aux questions suivantes : a) et b)
> Rendu attendu : un fichier pdf envoyé à infos@nparo.fr

a) Si vous étiez un bien du patrimoine français (hors région Centre Val de Loire) que seriez-vous ?


b) Dans un texte de 10 lignes min/max., illustré d’une image, donnez 3 arguments en faveur de votre sauvegarde, autrement dit pourquoi devrions-nous vous entretenir et pas votre voisin ?
Pour faire cette activité utilisez le site : (https://www.jaimemonpatrimoine.fr/fr)

 FIN de l’ACTIVITÉ#2 :

 

 IV / La Sauvegarde du patrimoine et ses difficultés

 

Le patrimoine est une richesse mais c’est aussi un fardeau pour les communes françaises qui depuis 1905 sont responsables de la sauvegarde de leur patrimoine.


Les coûts d’entretien, pour que les sites ne deviennent pas dangereux pour le public
– l’adaptation aux normes d’accueil du public, qui changent avec le temps
sont autant de contraintes pour leur sauvegarde.


L’entretien du patrimoine peut être aussi source de conflit politique entre ceux qui veulent restaurer à tout prix voire reconstruire et ceux qui veulent favoriser le patrimoine qui a survécu. (Projet de la flèche de la basilique de St Denis, voir la vidéo)

 

La liste de l’UNESCO permet de préserver des biens incomparables, exceptionnels et de faire leur promotion. Les états peuvent alors avec l’argent reçu restaurer, entretenir et valoriser leurs lieux.

Ils s’engagent après avoir signer à :
identifier et de proposer des biens se trouvant sur leur territoire national et doit donner des détails sur la manière dont le bien est protégé sur le plan juridique et fournir un plan de gestion concernant son entretien.

– Les États parties doivent protéger les valeurs pour lesquelles leurs biens ont été inscrits sur la Liste ;
il sont également encouragés à présenter à l’UNESCO des rapports sur l’état de conservation de ces biens.

Mais l’inscription sur la liste ne met pas hors de danger, pour l’éternité, ces lieux et il peut arriver que certains lieux soient déclassés pour les raisons suivantes :
le pays entreprend des travaux qui mettent en péril le lieu classé auparavant.
Exemple : En 2009, la ville de DRESDE en Allemagne a été déclassée à cause d’un projet de construction de 4 voies automobiles.
En 2008 les quais de la ville de bordeaux ont failli être déclassés à cause d’un projet de pont sur la Garonne qui selon l’UNESCO « défigurait » les lieux. Mais le gouvernement français a finalement fait marche arrière.
Enfin, en 2007, à Oman, l’extraction intensive de pétrole a réduit de moitié le « sanctuaire des Oryx arabes » ce qui a valu son déclassement.

Ces exclusions n’entraînent pas de sanctions pour les États, hormis la perte des aides et du label. Finalement les États sont les seuls « maîtres à bord » ce qui parfois font passer les intérêts économiques avant le patrimoine.

Voici en résumé, les principales causes de déclassement des lieux de la liste de l’UNESCO, on constate finalement que souvent ce sont les hommes eux-mêmes qui sont les causes principales de destruction.
Les menaces possibles sont :

  • les grands travaux (cause humaine)
  • le développement urbain (cause humaine)
  • les catastrophes naturelles
  • les conflits armés (églises orthodoxes au Kosovo, Bouddhas d’Afghanistan, des sites en Irak et toute la ville de Jérusalem) (cause humaine)
La destruction des bouddhas de Bâmiyân par les talibans, le 1e mars 2001.
  • le changement climatique ( Venise, les alpes suisses, la barrière de corail en Australie, les parcs nationaux du Népal et du Pérou)
  • le tourisme de masse (cause humaine)
  • Le trafic d’objets d’art (cause humaine)
Trafic illicite de biens culturels

 

Mais heureusement le génie humain peut travailler malgré tout à sauvegarder notre culture :

Conférence d’Yves Ubelmann : le patrimoine un pont entre passé et futur.

 ACTIVITÉ#3 :
> Réalisez la prise de notes de la conférence d’Yves Ubelmann « le patrimoine un pont entre passé et futur »
> Rendu attendu un fichier pdf de 20 lignes minimum, envoyé à devoirs@nparo.fr pour le 31 mars 2020 16h

Conseils pour réaliser cette prise de note :
Pour ne rien oublier et réaliser une prise de notes efficace et structurée répondez aux questions suivantes:
Qui est cet homme ? Quel est son métier ? Où travaille t’il ? Avec qui et pour qui travaille t’il ? Quels moyens utilise t’il pour effectuer son travail ?
Pourquoi fait-il ce métier (donnez un exemple d’une de ses réussites) ?

FIN de l’ ACTIVITÉ#3

 

EXPOSÉ

 

L’exemple de l’Italie :


EN 2020, 55 biens italiens sont inscrits sur la liste du Patrimoine mondial de l’humanité.
Réalisez le travail suivant :
1/ Par groupe de 2 choisissez un bien italien inscrit sur cette liste et réalisez un exposé oral sur ce bien d’une durée de 5 min.
LES EXPOSES SERONT RÉALISES LES 17 ET 24 mars 2020 (tirage au sort des groupes)
2/ Rendre un texte (par groupe) de présentation du bien (origine, situation géographique, dates marquantes et intérêts…) entre 20 et 30 lignes illustré de photos entre 5 et 10 (TEXTE : fichier pdf demandé)
DATE DE RENDU DU DOCUMENT : mardi 17 mars 2020

SOURCES à utiliser :
le site de l’UNESCO : https://whc.unesco.org/fr/etatsparties/it
Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Accueil_principal
GOOGLEMAP : https://www.google.fr/maps/preview


 DÉFINITION COMMUNE D’UNE GRILLE d’ÉVALUATION POUR LES EXPOSÉS :

CLIQUEZ ICI POUR DONNER VOS CRITÈRES D’ÉVALUATION DES EXPOSÉS


SOURCES – SRC :

src: http://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/espace-rural-espaces-ruraux

SRC : désert médicaux, France Info le 30/09

cartes de france agricole : http://www.cartesfrance.fr/geographie/cartes-france-agricoles/carte-france-agricole.html
Geothèque : https://geotheque.org/tag/activites/

Ville / village : https://education.toutcomment.com/article/quelle-est-la-difference-entre-une-ville-et-un-village-12082.html#anchor_2

Néoruraux :

http://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/neoruraux

https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9oruraux

périurbanisation : https://lewebpedagogique.com/hgvangogh/?page_id=129
Wikipédia : Hameau,
Site de l’ARCEP / internet et mobiles
hameaux creusois : https://archives.creuse.fr/rechercher/repertoires-et-aides-a-la-recherche/aides-a-la-recherche/organisation-du-territoire/liste-des-hameaux-ecarts-et-lieux-dits